Zébrures écarlates : commentaire d'un lecteur de Toulouse

Salut Michel, je voudrais te faire un commentaire personnel sur les zébrures. 

En fait, je regrette  que tu ne veuilles pas continuer. Il y a certes d'après mon humble avis des erreurs de premier roman mais une meilleure maison d'édition t'aurait fait gommer ces quelques petites erreurs. 

J'avoue aussi avoir éprouvé un sentiment de malaise avec toutes ces scènes intimes homosexuelles. J'ai passé certains passages. En ce qui me concerne, personne dans mes lectures n'a été aussi loin dans l'acceptation d'un fait de société. J'aurai pas le choix de m'y habituer. Je ne sais pas si on t’a fait des commentaires à ce sujet, mais il fallait le faire.

Limoiloustalgie : commentaires d'une lectrice de Lévis


Merci pour la lecture sur Limoilou. Ça m’a fait voyager dans le temps et l’espace. Tu écris très très bien. Et tellement de détails. Ou tu as une mémoire phénoménale ou tu es un excellent recherchiste, ou les deux probablement.

Limoiloustalgie : commentaires d'une lectrice de Lévis


J’adore car ça me rappelle plein de souvenirs. Nous avons vécu dans des univers assez semblables.Tu écris merveilleusement bien. Et tu as une mémoire phénoménale. Je crois que si je m’y mettais je pourrais me rappeler pas mal de détails aussi. Les appartements de mes grands parents me remontent en mémoire au fur et à mesure de ma lecture. C’est drôle. Le piano et le gramophone de ma grand mère maternelle, les immenses fougères de ma grand mère paternelle qui ornaient le grand salon toujours fermé avec ses meubles recouverts de draps, et son excellent sucre à la crème blanc.


J’ai tué mon Auteur : commentaires d’une lectrice d’Ardèche


J’ai lu J’ai tué mon Auteur et, je suis désolée, mais je n’ai pas accroché. Le fait qu’un personnage fictif prenne vie ne me gêne pas, mais l’histoire ne correspond pas à ce que je pensais trouver. J’étais partie pour une histoire fantastico-policière.

Ça prend une tournure trop philosophique, axée sur la « relation » auteur-lecteur-personnages-éditeur et sur la « construction » d’un livre. Et ça supplante l’intrigue. L’idée est originale et l’écriture très agréable mais ça n’a pas matché.

J’ai tué mon Auteur : commentaires d’une lectrice de Bécancour


Je ne connaissais pas l'auteur et j'étais bien curieuse de découvrir son univers...  Je peux dire qu'il m'a bien surprise, car il a eu l’idée originale de renverser les rôles et de nous présenter de façon fantaisiste  les relations étroites, mais complexes entre les auteurs et leurs personnages...  On découvre aussi les nombreuses difficultés auxquelles font face les auteurs pour réussir à publier et faire la promotion de leurs livres.  Mais... quand c'est le personnage qui prend les choses en main... tout peut arriver !

Victor Vanier, le personnage principal d'un roman, se sent victime de son auteur lui infligeant un rôle de criminel sadique dans un thriller au succès mitigé. Il décide alors d'éliminer son créateur. 

En un premier temps, il nous fait part de ses mésaventures, élaborées par son auteur; puis, se sentant manipulé, il se transforme en auteur-éditeur, afin de prendre les rênes du pouvoir et d'assurer le plein contrôle de la publication du manuscrit. 

Une invitation à un talk-show de grande écoute lui permet enfin de montrer sa démarche de revalorisation liée au travail de ses homologues (les personnages) et des écrivains eux-mêmes de façon générale. C'est le moment pour ce grand personnage de savourer ses 20 minutes de gloire ! En effet, Victor Vanier, devenu intouchable, immonde assassin, créateur littéraire et nouvel entrepreneur culturel est, dès lors, convaincu d'avoir réussi à clamer la reconnaissance de ses pairs. Son créateur lui, celui qui l'a inventé, a échoué.


Zébrures écarlates : commentaires d’un lecteur montréalais

C'est un incroyable thriller. Une enquête qui nous fait voyager, aller dans toutes les directions. Ça m'a pris la semaine à le lire. J'ai commencé lundi matin et je viens de terminer les 615 pages.

L'histoire ne se résume pas. Je peux dire que c'est l'enquêteur Ives d'Arch qui cherche à trouver un précieux document, disparu en 1954, des Archives de la Couronne d'Aragon à Barcelone. Dans ce roman, on parle de la Catalogne et de l’histoire du Québec. Il y a beaucoup de détails. Il faut aimer quand l'histoire va de gauche à droite et de droite à gauche, si je peux m'exprimer ainsi. Mais, il y a aussi de l'émotion. On s'attache à Ives et son conjoint KGB. On parle d'homosexualité (ou plutôt de bisexualité) dans un milieu où les préjugés sont encore malheureusement présents. L'auteur ne se gêne pas pour aller dans des détails de leur vie intime. Certains passages sont 18 ans et plus, si vous comprenez ce que je veux dire.

Bref, je le recommande à tous ceux et celles qui aiment les polars. J'ai bien apprécié aussi les liens YouTube que j'ai pu suivre dans le document.