Monsieur Roberge, ça fait un bout de temps que je veux commenter votre chronique de cette façon. Je n’osais pas, pourquoi mettre une touche négative dans un concept original et génial ?
Ce genre littéraire, le polar, dont les intrigues devraient être truffées de bouffe empoisonnée, on l’évoque si bien dans une annonce, aurons-nous besoin d‘un goûteur tel un monarque pour vérifier si un plat ne contient pas une dose d‘arsenic?
J‘apprécie également les rappels historiques.
Bon appétit !