« J’ai enfin lu, en peu de temps, ton plus
récent roman et suivi les subtils «
chronocrimes » de ton Bruno Harvey en ces lieux qui nous sont si familiers. Je
pensais à phrase de Jean D’Ormesson qui, dans Au plaisir de Dieu, parlait du «temps qui passe et du temps
qui dure».
Ton « thriller » est une belle invitation à réfléchir sur la notion
du temps, sur le balancement de la pendule qui dit oui et qui dit non, comme le
chantait Brel.
Bravo et merci pour cet agréable moment de
lecture. »